ENGIE Green met à l’arrêt ses éoliennes pour ne pas heurter le traineau du Père Noël.

C’est ce que nous aurions dû faire si nos équipes support ne travaillaient pas déjà à la protection des espèces volantes à proximité des éoliennes.

Chez ENGIE Green, nous avons mis au point des systèmes innovants comme « Optibat »  qui optimise le bridage des éoliennes lors des périodes d’activité des chauves-souris. Cet outil prédictif permet de proposer un plan de bridage sur la base de données météorologiques, d’activité et de période.

Nous mettons également à l’arrêt nos éoliennes lors des déplacements locaux et période de migration de nombreux rapaces. Nos installations présentant des risques avérés pour les espèces avifaunes sont équipées de systèmes de détection automatique des oiseaux et s’arrêtent en cas de présence d’espèces à moins de 300 mètres.

Nos équipes assurent également le suivi satellitaire d’une cigogne noire afin de mieux protéger cette espèce vulnérable. Nous nous sommes engagés à étudier les déplacements migratoires de cette cigogne noire afin de vérifier que les parcs éoliens sont sans incidence sur ses parcours.

Bien loin des idées reçues, les éoliennes sont aujourd’hui une cause marginale de la mortalité des oiseaux et chauves-souris. En moyenne, chaque éolienne impacte 1,2 oiseaux par an. En comparaison les baies vitrées sont 200 fois plus mortelles.

L’éolien a considérablement participé à une meilleure connaissance et aménagement de la biodiversité. Les études d’impact et suivis écologiques mis en œuvre dans le cadre du développement éolien ont contribué à développer les connaissances des faunes et flores locales. Aujourd’hui 25% du temps d’étude d’un projet éolien est consacré à la biodiversité.

C’est grâce à nos actions locales quotidiennes que nous pouvons aujourd’hui maintenir l’activité de nos éoliennes sans perturber la tournée du Père Noël. Rudolph nous a d’ailleurs assuré que la distribution de noël se présentait de la meilleure des manières.

Bonnes fêtes de fin d’année à tous.